Cette révolution dans le monde des jeux vidéos n’est pas passée inaperçue. Des amateurs aux passionnés en passant par les investisseurs, le jeu est devenu un vrai phénomène de société.
L’euphorie : une signature
Dès son annonce dans les médias, l'application est tout de suite très attendue par le public aux quatre coins du globe. À sa sortie aux États-Unis, le jeu le plus convoité du monde a explosé le nombre de téléchargements sur les plateformes habituelles : Google play et Apps Store.
Le lancement a connu un léger retard sur le continent européen à cause d’une saturation du serveur. Ce qui a provoqué encore plus d’impatience chez les gamers qui ne pouvaient attendre plus de temps pour commencer la chasse et le dressage des fameux monstres. En France l’enthousiasme est tel que les autorités ont dû ajourner la sortie du jeu, question de sécurité oblige.
Un jeu révolutionnaire
La sortie de la présentation officielle du jeu a marqué l’esprit de plus d’un. Ce qui fait que son lancement a été très attendu. Un subtil mélange de virtuel et de réel, ce jeu très addictif fait entièrement partie des légendes.
Puisque la chasse des Pokémons nécessite un déplacement dans la région, l’application invite à une découverte des cadres exceptionnels à ses proximités.
En plus des reconnaissances de lieu, grâce à une idée ingénieuse de ses concepteurs, le joueur peut prendre des photos avec le monstre qu’il vient de capturer, histoire d’immortaliser ces bonnes prises.
Des millions d’adeptes en peu de temps
Pokemon Go bat tous les records. Le record des téléchargements, celui des utilisations et même le record de vente des actions en bourse et ceux à l’espace de quelques semaines.
Les nombres d’aficionados dans la planète évoluent de plus en plus vite que même la fréquentation des réseaux sociaux, tant utilisés, a baissé en rien de temps. Cette évolution n’a pas échappé à l’œil attentif d’hommes d’affaires qui ont le flair pour les bons plans, de nombreux sites internet ont également vus le jour comme ce portail français dédié à Pokémon Go.