A l'amorce de l'atterrissage, gardez les yeux grands ouverts. A travers le hublot, la vue est saisissante : à droite on aperçoit la ville illuminée, de nuit c'est sublime ! Et à gauche, place au fameux atoll artificiel en forme de globe terrestre. Le séjour s'annonce dément, en témoigne l'énorme horloge Rolex de l'aéroport !
A peine débarquée, je reste ébahie par les tours de verre et d'acier, je frôle même le torticolis avec toutes ces constructions fantaisistes élancées dans le ciel.
Tout est stupéfiant : les autoroutes à huit voies, les gratte-ciels, les chantiers annonçant d'autres tours encore plus folles...
D'autres projets pharaoniques donnent le tournis, à l'instar de la construction de l'hôtel Burj Dubaï qui devrait atteindre 700 mètres. Une folie !
Une fois passé le tourbillon d'acier, les dunes et les roches envahissent le panorama. Mais happée par les appels de la mer, je rejoins la "Dubai Creek". Le bras d'eau qui scinde la ville en deux se prête idéalement à une flânerie à bord d'une petite embarcation pittoresque, un taxi d'eau ou "Abra". Puis une clameur rompt le silence : le port des boutres. Ici des marins iraniens, indiens, ou pakistanais chargent et déchargent leur cargaison. Une effervescence à ne pas manquer, surtout le soir !
Happée par les appels de la mer, je rejoins la "Dubai Creek"