Le canon au coeur d'artichaud...
J'étais en vacances chez ma grand-mère près du Cap d'Agde. Je venais de fêter mes 17 ans, il était plus âgé que moi ! Il était beau, grand, musclé, il sentait bon le sable chaud...
"Toutes les filles voulaient sortir avec lui, mais c'était moi qui l'avais."
J'étais toute fière, jusqu'au jour où il m'a plantée comme une vieille chaussette parce que soi disant, j'étais trop jeune et qu'il n'aimait pas les blondes. Vous imaginez ma tête ? Je m'en souviens, comme si c'était hier. C'était début août, de nouvelles vacancières arrivaient et il a trouvé les excuses les plus pitoyables pour me larguer ! Le pire ? L'année suivante, on est ressortis ensemble, je ne suis même pas arrivée à l'ignorer : c'était fusionnel !Laure, mariée, deux enfants, 35 ans
Un Italien pour deux...
J'avais bossé comme une malade toute l'année pour préparer le concours d'HEC. Avec mes copines, on n'avait qu'une envie : faire la fête ! On était en vacances à Saint-Tropez. Dans la journée, on émergeait à 15h, le soir, on ne se couchait jamais avant 4h. On sortait aux Caves du Roy, quand ce n'était pas au VIP.
Evidemment, j'ai rencontré un canon, une bombe : un Italien, avec un accent délicieux, un beau parleur, comme dirait ma mère ! Et je suis tombée dans le panneau jusqu'à ce que je me rende compte qu'il sortait aussi avec une de mes copines, Carine...
" Notre vengeance a été terrible... "
Je lui ai donné rendez-vous dans un café, et j'y suis allée avec Carine. Il a bredouillé des niaiseries, et il est parti en courant ! Magali, célibataire, 25 ans
Un macho craquant et plus si affinités...
J'étais sur la plage, tranquillement allongée sur ma serviette. Pour une fois, je n'étais pas en train de mater derrières mes lunettes de soleil. J'étais plongée dans un bon bouquin, quand Romain a débarqué. Le macho par excellence, tout ce que je déteste ! Même si je dois bien avouer que je l'ai trouvé tout de suite craquant.
Très sûr de lui, il m'a dit : "Ca vous fait quoi d'avoir devant vous le prince charmant ? Beau, intelligent, drôle...". Il m'a invitée à prendre un verre. Depuis, on ne s'est pas quittés et on pense même au mariage ! Cette histoire fait rire tous nos amis, ma famille un peu moins...Corinne, en couple, 28 ans
L'amant venu d'ailleurs...
Je venais d'être mutée à Londres pour le boulot. J'allais passer le mois d'août sous la grisaille anglaise. Franck, mon copain depuis 7 ans, ne daignait même pas me rendre visite, il préférait partir en vacances sur la côte atlantique rejoindre notre bande de potes, comme on en avait l'habitude. J'étais déprimée !
En training tous les jours de 9h à 20h, je ne maîtrisais pas complètement mon nouveau job. Heureusement, Joseph, anglais pure souche, m'a soutenue et aidée dans le boulot. Il a fait même beaucoup mieux. On est très vite devenus amants.
C'était l'opposé de Franck : le gentleman very british, so sweet et très attentionné.
Il m'emmenait au resto, au théâtre, à l'Opéra... J'étais sur mon petit nuage. Pour autant, la rupture avec Franck ne fut pas facile. Il n'a pas supporté, et m'a harcelée ! Le comble : il est venu plusieurs fois me voir à Londres, mais pour moi, c'était trop tard ! Depuis quelques temps, ça sentait le réchauffé, la distance n'a pas aidé ! Et avec Joseph, c'était du sérieux, je le savais... Ce n'était pas une banale rencontre de vacances ! Et ça fait trois ans que ça dure.Adeline, en couple, 27 ans
Un garçon qui cachait bien son jeu...
Je passais le mois de juillet, comme chaque année dans ma famille au Cap Ferret. Tous les soirs, je rejoignais mes copains. Tout le monde se connaissait plus ou moins ! Jusqu'à ce que Guillaume, un Parisien, surgisse de nulle part. Il m'a plu tout de suite. J'avais l'impression que je n'étais pas son genre.
"On s'est tournés autour pendant au moins 1 semaine.
Quand on est enfin sortis ensemble, l'horreur ! Une glu, un pot de colle... Un vrai !"
Il ne me lâchait plus. Du petit-déjeuner, en passant par la balade sur la plage, le marché ou le shopping. Je ne savais pas comment m'en débarrasser.
J'ai dû prétexter un retour précipité et rester cloîtrée dans ma maison le reste des vacances. Mes parents n'ont pas compris, ils me croyaient malade ! Sympa, non ? Autant vous dire que je me suis souvenue de cette histoire les étés suivants...Marina, célibataire, 23 ans