Lesbas sontcertainement les pièces maîtresses de l'arsenal de la femme fatale. Evidemment, je ne parle pas de bas autofixants. Il m'arrive d'en porter, maisde moins en moins, car ma peau ne tolère pas toujours le latex qui leur permet de rester en place...et en terme de glamour, les marques d'allergie au Dim Up sont loin de l'idéeque je me fais de ce terme.
De
ce fait, je parle de tout l'attirail du
porte-jarretelle et des bas. D'aucunne diront le contraire, le porte-jarretelle est diablement affriolant. Ill'est devenu dirons nous... car auparavant, il était un accessoire des plusbanal, supplanté par le pratique mais ô combien horrible collant à gousset. On remerciedonc le progrès pour avoir permis d'élever le porte-jarretelle au rangd'accessoire de charme et de séduction.
Mais au delà
de ce statut, qu'apporte le porte-jarretelle ?
Beaucoup vous diront qu'elles ne le trouvent pas confortable, peu pratique, qu'il se voit sous
la jupe, ou encore qu'elles ont froid aux cuisses... Etpourtant, une fois en place, lesbas ne bougent plus, contrairement aux collants qu'on n'a de cesse deremonter. Pourle côté pratique, les collants repasseront, je garde mes bas et mon porte-jarretelles... Les bas que j'adore par dessus tout, ce sont
les
bas couture, beige à couture noir tels qu'ils ont été créés à l'origine.Devenus retro voire vintage, cet apanage des femmes des années 40 représente àlui tout seul la sensualité exacerbée de la féminité.
Plus jeune, je pensais que je ne pouvais porter cet équipement uniquement quandje sortais ou que je prévoyais une soirée en amoureux... et puis avec le temps, on apprend à s'assumer, àassumer de porter des tenues à connotations sexuelles même pour allertravailler.
Parce
que finalement, peu importe le
regard des autres, l'essentiel est de se trouver bien dans ses vêtements,
bien dans son corps...