Jamais envahissante. Jamais bruyante. Et pourtant une capitale.
Le nez collé au hublot je regarde cette ville avant d’atterrir. Pas mal vue d'en haut ! Le meilleur était à venir.
Ses ruelles animées et pavées qui m'obligent à marquer chaque pas, ses odeurs, l'océan qui baigne,... et le soir venu monter sur le top d'un hôtel pour profiter d'un spectacle toujours renouvelé jamais identique. Le coucher de soleil sur la côte est une préparation à une nuit de rêves, et une invitation au voyage. Là tu prends conscience de ce peuple de grands navigateurs, de grands découvreurs qui à travers les siècles n'ont pu résister à l'appel de l'océan. Le soir c'est aussi le fado, triste mais qui panse nos blessures.
Un petit verre de Ginjinha, un pasteis de nata et hop les papilles en prennent aussi pour leur compte.
Retour à la pension avec le célèbre tram 28 qui se tortille à fond la caisse dans les ruelles où flottent les guirlandes vertes et rouges.