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Cher état islamique,
Vendredi dernier, un soir de liesse et de fête comme tous les vendredis soirs dans la plupart des villes françaises, tu as frappé la capitale de mon pays à coups de kalachnikov et tu as tué près de 130 personnes, comme ça, pour servir ton Dieu qui n’existe que dans ta tête.
Je ne vais pas te mentir, ces balles que tu as mises dans le corps de ces personnes m’ont profondément meurtrie. Pourquoi ? Parce qu’elles étaient des citoyennes et des citoyens comme moi, profitant simplement de la vie la veille d’un week-end. En tuant ces gens, tu as touché à une valeur de notre nation, qui est la liberté, et je dois admettre que tu as eu, pendant un laps de temps, ce que tu as voulu.
Mais, parce qu’il y a un mais dans cette tragédie, c’est que tes attentats, tes assassinats, ne font que renforcer l’envie de profiter de cette valeur française, mais renforce également l’unité nationale, la fraternité, une autre valeur de notre nation. Tu cherches à nous diviser, tu cherches à ce que l’on ait peur, mais tu vois, tes actions mènent à l’inverse : elles nous rapprochent !
Tu sais quoi, état islamique ? On aura ta peau. On sait que tu es partout, infiltré ici et là, on sait que tu nous suis sur les réseaux sociaux, à la recherche de petits jeunes naïfs et naïves pour leur laver le cerveau et les amener à combattre à tes côtés / être leur esclave sexuelle. Et tu sais quoi ? Je t’empêcherai de le faire, par l’information, par l’éducation, par leur montrer que tu ne vaux pas mieux que tous les autres.
Je sais que j’en ai pas fini avec toi, je sais que tu prépares de nombreuses autres tragédies comme celles de vendredi, mais tu sais quoi ? Cette fois-ci, je ne te laisserai pas faire.
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