Cette enquête très sérieuse de l’institut de sondage IFOP, commanditée par un site de rencontre, a révélé mercredi dans son « Observatoire de la vie sexuelle des Parisiens » des pratiques sexuelles bien plus libertines à Paris qu'en Province.
Les parisiens seraient plus volages, affichant un nombre de partenaires sexuels presque deux fois plus élevés que le reste des français. L’échangisme, la fellation, la bifle, la sodomie ou l’éjaculation faciale sont également bien plus pratiqués à Paris. Dans une même logique, les parisiens auraient tendance à se mettre davantage en danger. Ils sont plus nombreux à reconnaître avoir pratiqué du sexe après une consommation de drogue, à avoir fricoté dans des lieux publics comme des écoles ou des transports en commun. Ils sont aussi 38% à déclarer avoir déjà acheté un service sexuel (contre 22% des hommes en France).
Les parisiens plus libérés ou plus délurés (selon son propre degré de tolérance)... ? C'est bien la conclusion de cette enquête.