La régression
C'est l'heure du goûter les enfants. Qui veut un petit écolier ? Eh ben moi par exemple, j'en prends déjà un avant que vous ne me terminiez le paquet en un clin d'oeil. J'aime bien ceux au lait, et ça croustille bien. Et si aujourd'hui je m'offrais un Kinder pour voir ce qu'il y a dedans. Avec ma copine Sophie, quand on était ados, pour le goûter, on tartinait de beurre et de Nesquick des grandes tranches de pain. Et on grossissait pas. Alors ?
La barre chocolatée
L'ordinateur bugge. J'ai un boulot fou et je peux pas déjeuner. Alors là, c'est le moment rêvé pour la barre chocolatée. On a pas le choix. Juste le choix entre un Mars, un Snickers, ou un Balisto. C'est tellement plus pratique qu'un poulet salade entre deux stations de métro ou devant son écran. Et on l'a bien méritée, parce que la vie est dure.
Le Nutella
Hors du frigo, évidemment. C'est un crime de le mettre au frais, sachez-le. Ah, la petite cuillère de Nutella, en douce dans la cuisine après s'être lavé les dents. Et puis ça tombe un peu sur les bords de la cuillère et on rattrape aussitôt.
Le saviez-vous ? Il y a de la sérotonine dans le chocolat, et ça stimule les endorphines. D'où... les soins au chocolat, et même le massage au chocolat.Se faire tartiner, un moment chocolat très particulier. On en trouve partout. Entre autres, la chocolathérapie.
Soit elle dégouline des profiteroles, soit elle s'échappe de l'intérieur du moelleux. C'est chaud. C'est doux. C'est bon. Comme l'amour.
Les moments chocolat volés
La crème du gâteau avant de le faire cuire, et surtout, avant d'avoir incorporé les blancs en neige, quand c'est encore bien dense. Le dernier bout du cornet. Et...
Vous aussi, racontez-nous un moment choco perso !
Par Maud Thalys