Relations à plusieurs ou acte dans un lieu public pour les plus répandus, les rêveries sexuelles n’ont pas de limites.
Mais doit-on tous les réaliser ? Je me pose souvent la question avec mes propres fantasmes. Si nous nous arrêtons simplement sur le terme en lui-même, le « fantasme » renvoie à ce qui n’est pas réel, on est entre le rêve et la pensée. De ce fait quand on le réalise, que devient ce fantasme ?
Dès lors que nous avons mis en pratique ce rêve, il ne devient que simple réalité. Cruel destin pour une pensée qui nous a fait atteindre tant d’orgasmes. Ce raisonnement me fait certainement passer pour une peureuse mais à mon sens ce n’est pas le cas. Je me considère davantage comme une rêveuse qu’une courageuse du sexe. J’aime laisser vagabonder mon esprit, j’en tire mon plaisir.
Mais qui sait un jour, je vais franchir le cap mais pas tant que je n’aurais pas construit un fantasme de remplacement !