Ca change du surf : le Stand-Up Paddle Surf
En quoi c'est différent : comme pour le surf classique, on est debout sur une planche, sauf qu'elle est encore plus grosse (donc plus stable) et qu'on a aussi dans les mains une longue pagaie (adaptée à notre taille) dont on s'aide pour avancer et garder l'équilibre. Résultat : au lieu de devoir sauter sur notre planche, plier les jambes et tomber à l'eau toutes les 5 minutes, on reste debout un maximum.
Pourquoi on préfère : non seulement on travaille les jambes pour rester en équilibre sur la planche (exit la cellulite) mais aussi les bras, les épaules et même les abdos en ramant ! L'idéal pour un corps de rêve. La preuve ? Jennifer Aniston et Nicole Scherzinger (des Pussycat Dolls) en sont dingues ! Et comme, à moins d'être une pro, on pratique plutôt sur un plan d'eau calme (par exemple en Méditerranée ou même sur un lac) que dans de grosses vagues, on limite les chutes.
C'est pour qui ? Celles qui veulent s'entraîner avant de s'attaquer au surf : si la mer est calme, c'est moins physique et on peut travailler notre équilibre tranquillement, en profitant de la balade.
Infos sur www.supfrance.com et www.surfingfrance.com Crédit photo : Naish International
Ca change des raquettes : le Speedminton
En quoi c'est différent : ça se joue à deux et chacun a une raquette dans les mains : jusque là, c'est pareil. Sauf qu'on ne se renvoie pas une balle en plastique mais un volant spécial (le speeder), assez lourd et qui file très vite. Et surtout, pas besoin de filet : on délimite un terrain et c'est parti ! Du coup, on peut y jouer partout, y compris sur la plage.
Pourquoi on préfère : contrairement au traditionnel jeu de raquettes, on ne cherche pas juste à se renvoyer la balle le plus longtemps possible mais à marquer des points, donc à faire bouger un maximum l'adversaire. Comme ça va super vite, il faut se déplacer en permanence et avoir de bons réflexes !
On travaille nos appuis et nos jambes ! C'est tout bénéf' !
Et on peut aussi y jouer la nuit grâce à un petit stick phosphorescent (le speedlight) qu'on glisse dans le volant : super fun la partie au clair de lune !
C'est pour qui ? Celles qui s'ennuient quand on ne compte pas les points et qui ont besoin d'un enjeu (le perdant fait la vaisselle du soir) pour s'amuser vraiment.
Infos sur www.speedminton.fr
Encore plus d'activités sportives à la plage avec... le YGolf
Prononcez "Why Golf". Parce que débarquer sur la plage avec ses clubs de golf, c'est quand même la classe, Décathlon lance un kit spécial pour jouer n'importe où, y compris dans le sable. Evidemment, le matériel est un peu différent : les clubs sont plus légers, les balles semi-rigides (ça fait moins mal si on l'envoie par mégarde sur la serviette de quelqu'un mais on fait quand même attention...) et les cibles auto-agrippantes. Il n'y a plus qu'à déterminer le parcours !
Kit YGolf, 35 , Inesis, en exclusivité chez Décathlon.
Ca change du beach volley : la Pétéca
En quoi c'est différent : il y a bien un filet et un ou deux joueurs de chaque côté du terrain, sauf qu'on ne se renvoie pas un ballon mais un petit volant (avec des plumes au bout) qu'on tape avec la paume de la main. Bref, c'est un savant mélange entre beach-volley, badminton et pelote basque qui nous vient... du Brésil !
Pourquoi on préfère : le volant est petit, donc pour l'attraper il faut se déplacer encore plus vite, sauter, plier les jambes... le tout dans le sable.
Avec la Pétéca, on dépense facile les 5 chichis qu'on vient de s'enfiler...
(Il n'y a qu'à voir la plastique des Brésiliennes...) ! En plus, c'est un des rares sports ambidextres : on se sert de nos deux mains et ça, ça met au défi notre agilité !
C'est pour qui ? Celles qui trouvent que le ballon " a fait mal aux mains" ou qui après 10 ans de tournois sur la plage de l'Atlantique, trouvent que le beach-volley, c'est un peu trop "facile"...
Infos sur www.federationdepeteca.com Crédit photo : fédération française de Pétéca