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Comment vont mes cheveux ?

Comment vont mes cheveux ?

Ils ne sont pas au top. Et si je n'utilisais pas les bons produits ? Si j'avais de mauvaises habitudes ? Pour en avoir le cœur net, direction l'Institut René Furterer pour un diagnostic complet... sous microscope.

 

La cabine de diagnostic

Le capilliscope

On établit le diagnostic

Mes cheveux, passés au peigne fin !

C'est grave docteur ? J'ai un souci capillaire !

Allez, direction la cabine de diagnostic pour déterminer précisément leur nature et leurs besoins !

Totalement gratuit, le check-up capillaire proposé par l'institut commence par un questionnaire d'ordre général sur son hygiène de vie, ses habitudes cosméto - produits utilisés, fréquence... - et ses attentes (lutter contre une chute de cheveux, atténuer des démangeaisons, retrouver de la brillance...).

Puis on passe aux choses sérieuses : l'examen au capilliscope.

Cet appareil breveté - une sorte de microscope - révèle la nature du cuir chevelu et de ses cheveux (pratique quand on se demande si on utilise les bons soins), ainsi que les éventuels problèmes pouvant les affecter. La méthode : comparer l'image de son cuir chevelu à une image de référence.

Plusieurs étapes :

- Une première sonde grossissante m'apprend que j'ai une bonne vascularisation (plein de petits vaisseaux rouges apparents), mais aussi de petites pellicules en racine. La cause ? L'utilisation de soins trop riches ou une actuelle période de stress (les cellules mortes ressortent alors davantage).

- Une deuxième mesure mon taux de sébum : mon cuir chevelu est à tendance grasse

- Une troisième détermine mon degré de sensibilité : moyen, d'où les démangeaisons...

- On me prélève ensuite une dizaine de cheveux sur le dessus de la tête, les tempes et l'arrière pour les examiner au microscope. On m'explique que, normalement, 85 % des cheveux doivent être en phase de pousse et 15 % en phase de chute. J'en ai quelques-uns en phase de pousse (on voit le bulbe), mais beaucoup sont fatigués et en phase de chute (ils sont tout noirs ou translucides à la racine). La faute certainement aux pellicules qui les étouffent.

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