Rechercher
Menu

Le blues de l’hiver : petite déprime ou vraie dépression ?

Le blues de l’hiver : petite déprime ou vraie dépression ?

Je ne sais pas vous mais moi chaque hiver, c’est pareil : je déprime sans trop savoir pourquoi !

Le blue de l’hiver n’a rien vraiment d’original en soi
puisque beaucoup d’entre nous passent par là. Fatigue, manque de concentration,
manque de motivation ou encore petits coups de cafard… Tels en sont ses
symptômes les plus courants et l’on pourrait bien ne plus y faire attention tellement
il s’agit d’un mal banal. Sauf qu’une amie m’a évoqué récemment le mot qui fait
peur : dépression.Comprenons-nous bien : nous ne sommes pas toutesatteintes de dépression en hiver, loin de là. C’est juste que même si lesapparences sont plutôt de faible gravité, il ne faut pas prendre ce mal à lalégère. Et si l’on y arrive, se bouger un peu afin que la déprime passagère nese transforme pas en vrai gros problème !

Je m’explique :- Envie de rester
à la maison tout le temps ? Le cocooninga beau être une activité fort agréable, ce n’est pas une fin en soi. Et si lessorties entre potes peuvent diminuer quelque peu l’hiver (comptons sur le faitque nos amis ont eux aussi la motivation d’une loutre pour filer à une soirée pump it up dans un froid polaire), il nefaut cependant pas tirer un trait dessus définitivement. Le faire seraitsombrer en dépression. Donc NON.

- La fatigue se
fait oppressante ? Ok, elle est bien là en note de fond mais elle
ne bloque pas notre quotidien pour autant. Si c’est le cas au point de ne plus
pouvoir sortir, je tire la sonnette d’alarme.A noter que l’hiver est ce moment traitre qui nous laissesouffrir au réveil et nous donne envie de pioncer toute la journée au boulotalors qu’en revanche, nos nuits sont agitées, toute en dynamisme et donc pasparticulièrement reposantes… J’adore.

- Concentration
nulle part ? Le lieu de travail en pâtit notamment puisqu’il est impossible
de focaliser son esprit longtemps sur une même thématique. En cause : la
nostalgie. Puisque la déprime s’ancre en nous, on repense au passé, à l’été. On
cogite sévère. Et on n’avance clairement pas. Le mieux est de ne pas laisser
cet état s’installer et se forcer à ôter toute mélancolie de notre esprit
nébuleux.
Pour ce faire, j’ai nommé le sport : celui-là même que nous arrivons moins
à appréhender, toujours en raison du manque de motivation. Mais ça ne doit pas
se passer ainsi : le sport l’hiver n’est pas une sinécure, au
contraire ! Il revivifie, permet de nous recentrer et nous garde en action.
Au pire, si vous êtes vraiment transie de froid lors de votre running, la salle de sport, ça
existe !

- Moins prendre
soin de soi ? La déprime hivernale entraîne de petits désagréments
qui ne raviront pas les plus coquettes mais les pousseront quand même à
« mal » faire. En résumé, on pratique assidument l’art du grignotage
(pour se réchauffer, la bonne excuse) et nos efforts vestimentaires se
retrouvent propulsés au strict minimum (un jean, un pull, des sneakers, what
else ?).Et bien non en fait. Se trouver belle commence par éviter des’empiffrer et s’habiller joliment. Vous feriez ça en été, peut-être ? Quenenni. Alors pensez-y, l’été arrivera plus vite que vous ne le pensez. Et cetteimage de vous en train de vous négliger ne vous plaira assurément pas.

- Des problèmes
dermatologiques ? L’hiver est la pire ennemie de notre peau, c’est
bien connu. Les dartres, les plaques, l’eczéma, on n’aime pas trop… Et outre
ces désagréments du quotidien,  je ne
parle même pas des soucis de teint blafard car c’est un fait avéré : on se
trouve plus canon en été, bronzée. Cela peut paraître tout bête comme souci
mais être mal dans sa peau est l’un des problèmes principaux de ce blues
intempestif. Alors zou ! Chez le dermato et en attendant, le fond de teint
est notre ami.

Du coup, déprime ou dépression ?
Cela dépend évidemment de la proportion que prennent chez nous tous ces maux. A petite échelle, il n’y a pas de quoi s’inquiéter, c’est juste normal.
Si toutefois le blues s’installe d’avantage (vous ne vous supportez plus, vous
ne cessez de vous prendre des remontrances au boulot, vous êtes
insomniaque...), il faudrait peut-être songer que le souci est plus grave
qu’il n’y paraît et consulter un médecin.

Dans la majeure partie des cas, les déprimes hivernales sont
liées au manque de lumière du jour plutôt qu’à des évènements malheureux. Nul
doute alors que vous retrouviez le sourire en même temps que le soleil. A moins
évidemment que votre saison préférée ne soit l’hiver !

Et vous, le blues hivernal ? Concernée ou pas du tout ?

Sur le même sujet

2 commentaires
Sans Pseudo, vous apparaitrez en Anonyme
*Veuillez ajouter un commentaire.
patounette37  Le 11/02 à 13:21

bjr, non , je connais pas ; je suis tres occupée dedans et dehors tout l'hiver et g un petit chien pour me tenir compagnie, ainsi que 3 beaux chats.

patounette37  Le 11/02 à 13:20

Bjr, Moi je passe l'hiver pas trop mal ; je sors par tous les temps avec mon petit chien, Théo, que je promène 3 fois/jour ; Mais je trouve les mois de janvier et février trop long ; j'attend le printemps avec impatience car j'ai une terrasse orientée sud/sud ouest et j'aime planter de beaux bulbes pour obtenir de merveilleuses fleurs en été ; ca parfume bien ma terrasse et comme cela je peux manger dehors avec mon homme et mes amis le week end.